Qui n’a pas rêvé d’avoir un superbe maillot et d’en finir avec la cire, le rasoir, la crème ou la pince?
On vous dit tout sur l’épilation laser du maillot et surtout si « ça fait mal », « très mal » ou « si c’est supportable » !
Qu’est-ce que l’épilation laser ?
L’épilation laser est une technique particulièrement intéressante. Le mode d’action est celui de la photothermolyse sélective, utilisant une longueur d’onde sélectionnée pour détruire une cible particulière dans la peau. La cible est atteinte par l’absorption de la lumière par un chromophore et diffusion de chaleur subséquente1.
Au niveau du poil, le chromophore est la mélanine noire ou eumélanine qui se trouve dans le bulbe pilaire. Il y a absorption de la lumière laser, émission de chaleur intense et destruction du follicule pileux.
Seuls les poils de couleur foncée peuvent être traités par l’épilation laser.
En raison de la présence de poils de gros calibre et généralement foncés, la zone du maillot réagit très bien à l’épilation laser.
Différents types de lasers CLASSE IV, réservés à l’usage exclusif des médecins, sont indiqués pour l’épilation laser : lelaser Alexandrite (longueur d’onde 755 nm) utilisé pour l’épilation des peaux à phénotypes clairs (poils sombres sur peau claire), le laser Nd-Yag ( longueur d’onde 1064 nm) utilisé pour les peaux mates ou noires. Ces appareils sont équipés d’un système de refroidissement qui assure un confort durant la séance d’épilation et diminue la sensation de douleur.
Pourquoi l’épilation laser est-elle si populaire ?
Il y a 10 raisons à cela ! Elle est mieux expliquée scientifiquement, elle a été testée sur des milliers de personnes, elle utilise des appareils performants et sécuritaires, elle est vulgarisée dans la presse féminine ou masculine, elle n’a plus de secret pour la médecine esthétique, elle associe une très bonne efficacité à un très faible taux d’effets secondaires, elle traite de façon définitive toutes les zones du corps, elle permet d’en finir avec les désagréments des méthodes classiques, ses principes ainsi que le déroulement du traitement sont codifiés, son coût est abordable
Bien qu’il y ait « un retour du poil pubien », une étude2 menée sur la population française nous rappelle que 75 % des français s’épilent le maillot (dont 28 % au moins une fois par semaine), 33 % le sillon inter-fessier, 24 % des femmes et 14 % des hommes s’épilent en intégral. Hé oui, de nos jours l’epilation laser maillot est de plus en plus populaire.
Le marché de l’épilation définitive est en plein essor, l’épilation laser a le vent en poupe, avec une croissance de 22,64 %3. Ce sont les jeunes (-35 ans) qui ont tendance à plébisciter cette technique.
Les hommes ne sont pas en reste !
Changement de paradigme ou évolution sociétale, les jeunes adultes deviennent « accros » à l’épilation laser et la transforme en une technique esthétique populaire.
Les différents types de douleur en épilation laser
Il est fréquent de rencontrer les termes « peu douloureux » et « indolore » associés à la technique de l’épilation laser. Est-ce la réalité ? On vous en parle….
La douleur pendant le traitement
Considérée comme une procédure extrêmement sécuritaire par la Médecine Esthétique, l’épilation laser est une technique bien établie qui suit des protocoles standardisés.
Quelques effets secondaires normaux en relation avec la destruction des follicules pileux sont généralement attendus et peuvent être prévenus ou atténués par l’application de produits apaisants ou hydratants.
Depuis 1995, date des débuts de l’épilation laser, les publications scientifiques ne rapportent aucun effet secondaire grave4. Mais il est souvent mentionné dans ces publications que plusieurs méthodes de refroidissement cutané sont offertes pour protéger l’épiderme et ainsi diminuer les risques de changement pigmentaire post-traitement en plus de diminuer la douleur durant le traitement4.
Le balayage du faisceau laser sur la peau provoque un échauffement important de la surface cutanée. Les tissus traitésaccumulent, eux aussi, de la chaleur, il est donc essentiel, pour sa protection, que la peau soit refroidie en conséquence, avant, pendant et après le tir laser.
Avec un système de refroidissement cutané performant, il devient possible d’augmenter à la fois l’efficacité, la sécurité et le confort du traitement.
Il existe plusieurs méthodes de refroidissement cutané :
Refroidissement passif avec gel à base d’eau pré-refroidie ou de glace, jet de gaz cryogénique, refroidissement actif avec air froid (-32°C à – 60°C), plaque de métal froide ou lentille de contact froide
Le froid, en anesthésiant la peau, diminue la douleur ressentie pendant le traitement. L’idéal est de refroidir l’épiderme assez longtemps pour prévenir une dyspigmentation post-traitement et atténuer la douleur.
Quelle est la vérité sur la douleur de l’épilation laser du maillot ? Pourquoi ça fait mal ? On vous en dit plus…
Les différentes parties du maillot qui peuvent être traitées
L’épilation laser maillot concerne :
Chez la femme : le pubis, les plis de l’aine, les grandes lèvres, le sillon inter-fessier
Chez l’homme : le pubis, les plis de l’aine, la verge, le scrotum, le sillon inter-fessier
Les différentes zones de douleur sur le maillot
La douleur physiologique ou nociception est une expérience multidimensionnelle ou composite faisant intervenir différents systèmes perceptifs, émotionnels, attentionnels, moteurs, anticipatoires. La mise en jeu de ces différentes composantes permet ensuite la construction d’une réponse intégrative6.
Les récepteurs sensibles à la douleur ou nocicepteurs, présents dans tout l’organisme au niveau des tissus cutanés (épiderme et derme), musculaires, articulaires et osseux, donnent l’alerte et initient un message douloureux lorsqu’ils repèrent une situation nocive pour l’organisme.
C’est la densité de ces nocicepteurs dans une zone corporelle qui va déterminer la sensation douloureuse de celle-ci. Dans la peau, ils sont plus nombreux au niveau des doigts, paumes, front, plantes des pieds, épaules. Les régions du maillot n’en sont pas plus fournies que les autres.
Une étude sur les Facteurs prédictifs de la douleur dans les gestes techniques dermatologiques7 rapporte que les gestes occasionnant des douleurs modérées à sévères étaient essentiellement dans les traitements par laser…et que les scores les plus élevés se trouvent lorsque le geste est réalisé sur les doigts, les orteils et les membres.
Lors d’une épilation laser qui induit un échauffement (supérieur à 100 °) au niveau des follicules pileux et une destruction tissulaire de ces derniers, les nocicepteurs sont mis à rude épreuve. Le fait qu’il y ait destruction du tissu entraîne irrémédiablement une douleur dans l’organisme.
S’il n’y a pas de douleur, cela veut dire que le follicule pileux n’est pas détruit.
Il est clair que toutes les zones ne sont pas égales en matière de douleur dans l’épilation laser :
l’avant des demi-jambes est l’une des zones les moins douloureuses, l’arrière des jambes et les aisselles sont déjà plus sensibles, pour les zones du visage, sourcil, lèvre supérieure et menton, on monte d’un cran, on atteint le summum de la douleur au niveau des zones intimes.
Au niveau du maillot, la pilosité plus importante, les poils plus drus et plus épais augmentent les effets douloureux.
On distingue des zones du maillot plus sensibles car la peau y est fine et très innervée. Les nerfs ilio-hypogastrique, génito-crural et ilio-inguinal innervent la peau de la partie latérale haute de la cuisse, la peau du pubis, la base de la verge et la partie antérieure du testicule chez l’homme ainsi que les grandes lèvres chez la femme.
L’épilation laser du pubis fait un peu mal, celle des lèvres fait plus mal, celle du sillon inter-fessier, de la verge et du scrotum encore plus mal.
Toutes les personnes ont des degrés de sensibilité différents, mais presque toutes sont d’accord pour dire que l’épilation du maillot intégral reste la zone la plus douloureuse.
Ça y est, c’est dit ! Il n’y a pas d’épilation laser sans douleur puisqu’elle détruit les follicules pileux, la douleur peut être plus intense au niveau des grandes lèvres, scrotum, verge et sillon inter-fessier – mais en raison des précautions médicales et techniques prises avant, pendant et après la séance, on vous assure que l’épilation laser du maillot est supportable, bien que désagréable à cause des picotements et échauffements ressentis.
L’intensité de la douleur est modulée par votre sensibilité.
La douleur après le traitement
La destruction des follicules pileux, traumatisme pour l’organisme, déclenche la douleur ainsi qu’un ensemble dephénomènes qui sont les signes précurseurs de la réparation tissulaire.
Les rougeurs et l’irritation de la peau
Après la séance, il peut apparaître des rougeurs, une irritation, des petits œdèmes qui disparaissent en quelques heures. Ce sont les conséquences physiologiques immédiates de la photothermolyse des follicules pileux. La peau réagit à un traumatisme interne par un processus naturel d’inflammation transitoire. Les rougeurs sont dues au chauffage de la peau et à un afflux sanguin à ce niveau.
Les picotements et les sensations désagréables
L’épilation laser peut être vécue comme inconfortable car elle engendre, au passage du laser, des sensations désagréables telles que picotements, étirements, échauffements et parfois douleurs fugaces et vives. En fonction de votre sensibilité, de la zone à épiler, de la pilosité, de la nature des poils, de la technologie, ces manifestations peuvent être exacerbées.
Les conseils pour soulager la douleur
Réputée pour être douloureuse par les un(e)s, ressentie comme indolore par d’autres, l’épilation laser est devenue confortable en raison de l’utilisation d’appareils munis d’un système de refroidissement automatique. La douleur provoquée par la destruction des follicules pileux lors des tirs laser est atténuée par l’effet anesthésiant du froid.
Il est possible, également, d’appliquer, 2h avant la séance, une crème anesthésiante que le médecin lasériste vous aura prescrite.
Les facteurs qui influencent la douleur en épilation laser
C’est inévitable, l’épilation laser comporte des désagréments modulés par le type de peau et de poils, la force et la durée du faisceau laser, votre sensibilité à la douleur.
Le type de peau et de poils
Toutes les peaux ne sont pas égales devant la douleur et toutes les zones de la peau n’ont plus.
Notre peau est largement innervée mais certaines zones sont munies d’une plus grande quantité de récepteurs à la douleur, les rendant plus fragiles à une lésion quelconque.
Au niveau du maillot, et notamment sur les grandes lèvres, la verge, le scrotum et le sillon inter-fessier, les nocicepteurs ne sont pas plus nombreux qu’ailleurs mais par contre, l’épaisseur du tissu cutané est moindre, donnant une sensation de fragilité et de sensibilité plus importante.
Les poils de la zone maillot sont, en général plus drus et plus foncés et leur densité est plus importante. Les bulbes pileux étant plus nombreux et plus rapprochés, les impacts lésionnels créés par la photothermolyse le sont aussi, engendrant une douleur plus vive.
Il arrive parfois que la chaleur restituée par la pilosité génère un œdème surtout lors des premières séances. C’est pour cela qu’il est indispensable que les poils soient rasés courts pour éviter l’absorption de la lumière laser par la mélanine de la tige du poil qui en se consumant pourrait brûler la l’épiderme.
Ainsi, plus le poil est épais et noir plus la douleur est intense, plus la pilosité est dense plus la douleur est importante, plus la peau est fine plus la sensation de douleur est vive, plus le poil est long plus il y a risque de brûlure de l’épiderme
La force et la durée du faisceau laser
Un laser est une source de photons monochromatiques (même longueur d’onde) et cohérents (même direction et trajectoires parallèles). Pénétrant la peau à diverses profondeurs, son action se traduit surtout par un effet thermique.
Les quatre caractéristiques majeures d’un laser sont sa longueur d’onde, sa durée d’impulsion, sa fluence (énergie dégagée), le diamètre du spot.
La longueur d’onde du laser doit être choisie en fonction du type de poil : plus le poil est fin plus la longueur d’onde doit être courte, plus le poil est épais et profond, plus la longueur d’onde doit être élevée.
Les durées d’impulsion doivent être beaucoup plus longues, pour atteindre le pigment en profondeur. C’est pour cela qu’on utilise les lasers Alexandrite ou Nd-Yag. L’action dermique du laser Nd-Yag étant plus profonde, elle est aussi plus douloureuse que celle du laser Alexandrite.
Ainsi, plus le poil est épais et profond, plus la durée d’impulsion doit être longue entraînant plus de douleur.
La fluence du laser doit être paramétrée en fonction du poil et de la peau : elle doit être assez importante pour détruire les bulbes pileux tout en tenant compte de la couleur de la peau. La douleur ressentie est proportionnelle à la fluence.
Le diamètre du spot détermine la capacité de pénétration du laser : pour les poils profondément implantés comme ceux du maillot, des aisselles ou du menton, on choisira un large diamètre de spot, augmentant aussi la douleur.
La sensibilité individuelle à la douleur
Lors de l’épilation laser, les ressentis sont très différents : simples picotements pour les uns, intenses douleurs pour les autres.
On observe une grande variabilité inter-individuelle dans l’intensité de la douleur8.
Cette variabilité est observable au niveau du cerveau.
Aujourd’hui, on plaide en faveur d’interactions gènes-environnement et gènes-gènes qui ne sont pas encore démontrées par scientifiquement.
La sensation de douleur est, donc, en partie individuelle et subjective.
Pour ne pas trop souffrir lors d’une séance d’épilation laser, voici quelques solutions : être tout à fait décidé(e) à se débarrasser définitivement de ses poils, choisir le bon moment (pas pendant vos règles), choisir « la bonne Clinique », c’est celle dans laquelle on se sent accueilli(e), considéré(e), pris(e) en charge, se décontracter et se dire que le médecin lasériste est un(e) professionnel(le), engager une communication avec le(a) praticien(ne) et profiter de sa bienveillance pour penser à autre chose, appliquer une crème anesthésiante est un bon moyen de na pas avoir mal du tout, choisir une Clinique dans laquelle le plateau technique est muni d’appareils avec refroidissement.
L’épilation laser du maillot est-elle douloureuse pour tout le monde ?
Les témoignages de personnes ayant subi des traitements
1) Sananas : Je vous dis tout de l’épilation définitive corps et visage et du détatouage !
J’avais beaucoup de poils, longs, durs et foncés.
J’avais des boutons et je devais me raser tous les jours.
J’ai testé la lumière pulsée sans trop de résultats.
Le mieux c’est le laser.
J‘ai fait du laser aux jambes et au maillot.
j’ai eu déjà des résultats à la première séance.
Les résultats sont vus rapidement pour les jambes, le maillot et les aisselles.
J’ai fait 10 séances et ça ne repousse plus sauf pour les zones humides, j’ai 3-4 poils tous les deux- trois mois.
Au maillot, aux grandes lèvres j’en ai 3-4 qui reviennent.
Pour la douleur c’est moins douloureux que la cire.
C’est supportable pour moi.
Sur les lèvres c’est plus sensibles, sur les fesses c’est moins sensible, les aisselles c’est un peu sensible. C’est surtout désagréable.
L’épilation à la cire c’est beaucoup plus fort.
En terme de douleur, le laser c’est supportable.
C’est un succès fou, c’est un soulagement.
Ça a changé ma vie qui est plus belle comme ça.
Le laser super efficace pour le maillot, les jambes, les bras, les pieds, les mains, la moustache.
Le laser, super belle expérience, super efficace, plus de poils, les poils tombent quelques jours après.
2) Manon Amélie : Épilation laser définitive, conseils et résultats après un an | Manon Amelie
L’épilation laser c’est différent des autres techniques.
On conseille 6 à 10 séances par zone.
J’ai fait les aisselles, le maillot puis les jambes .
Pour la douleur on peut mettre une crème anesthésiante.
Moi je ne le fais pas, c’est vivable.
Une aisselle c’est 30s, ça va vite.
C’est l’odeur qui me dérange.
Le maillot c’est plus désagréable, les zones de peau fine vous allez morfler, plus on descend plus c’est désagréable et ça fait mal.
Pour les jambes, la douleur il n’y a pas de souci mais vers la cheville c’est sensible car la peau est différente.
On peut mettre de la crème anesthésiante.
Je n’ai pas eu de rougeur ni de souci de peau.
Moi j’ai fait les choses naturellement, j’ai laissé ça comme ça.
Après quelques jours on peut faire un gommage pour faire partir les poils.
3) Maggy Kloset : MON EXPÉRIENCE D’ÉPILATION DÉFINITIVE AU LASER, PEAU NOIRE:Traitement, Prix, Douleur⎮Maggy Kloset
J’avais beaucoup de poils, de la barbe aux pommettes, des gros poils et la peau de couleur.
Il faut le laser ND Yag.
Moi j’ai fait visage et corps, les lèvres, les joue, le menton, les aisselles, le bikini et la ligne du ventre en 6 à 10 séances en tout.
Sur le visage elle reste 2-3 minutes.
Ça ne fait pas mal au visage, ça fait mal sur le bikini, ça chauffe au départ et on met un gel apaisant sur la peau après.
Les études sur la douleur en épilation laser
L’étude de K. Talour7 précise que les gestes dermatologiques occasionnant des douleurs modérées à sévères sont essentiellement les traitements par lasers et lampes à diodes et les injections réalisés sur les doigts, les orteils et les creux axillaires. Les parties jugées les moins douloureuses sont le tronc et les membres. Les parties intimes ne sont pas mentionnées. Il n’est pas question de l’épilation laser stricte.
Par contre, on trouve sur internet et Youtube de nombreux témoignages de celles et ceux qui ont pratiqué cette méthode.
Les avis sont très partagés : certains n’ont ressenti ni douleur ni le moindre effet secondaire alors que d’autres semblent avoir énormément souffert.
Conclusion
La douleur en épilation laser est-elle supportable ?
La douleur engendrée par la destruction des follicules pileux dans la profondeur du derme reste tout à fait supportable car la sensation la plus intense ne dure que la fraction de seconde durant laquelle le laser envoie son impulsion.
L’organisme s’arrange pour gérer ses multiples petits traumatismes, comme il le fait lors d’une épilation classique. Les picotements et la sensation de chaleur ressentis sont les signes de l’efficacité du traitement.
La réaction de la peau, suite à l’ action du laser est de type inflammatoire,
Oui, l’épilation laser du maillot fait mal et un peu plus qu’ailleurs en raison de la forte densité de poils à cet endroit et de la nature de ceux-ci. Mais la douleur est tout à fait supportable si on prépare la peau en lui appliquant préalablement une crème anesthésiante.
La douleur ressentie est un signe de l’efficacité du traitement !
Les bénéfices de l’épilation laser du maillot
En 10 points, voici les bénéfices de l’épilation laser du maillot:
1- une peau douce et lisse pour de nombreuses années.
2- 90 % de non repousse en moyenne.
3- gain de temps.
4- gain de budget à long terme.
5- finis les poils incarnés.
6- finie la pilosité gênante.
7- finies les irritations dues au rasage et aux crèmes dépilatoires.
8- finies les douleurs à chaque épilation.
9- supportable quand on met une crème anesthésiante.
10- pour hommes et pour femmes et tous les types de peaux.
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BIBLIOGRAPHIE
1- C. Piérard-Franchimont, F. Heury, P. Paquet, G.E. Piérard, (2003), Comment je traite une hypertrichose, Rev Med Liege ; 58:10:605-610.
2- Enquête IFOP, « Charles.co », (2021), Enquête sur les pratiques dépilatoires et le poids des injonctions liées à l’épilation, Présentation powerPoint, visité le 11 juillet 2023.
3- Businesscoot, (2022), Le marché de l’épilation définitive, ite visité le 11 juillet 2023.
4- D. Barolet, (2002), Mise à jour sur l’épilation au laser, Les soins au féminin, Le clinicien, pdf, Centre hospitalier de l’Université de Montréal, Hôpital Saint Luc, Montréal.
5- D. Barolet, ( 2001), Reflections on internal reflections. Mise à jour sur le laser en dermatologie 2001, Symposium , Novembre.
6- R. Peyron, (2007), Physiologie de la douleur, Inserm, 17-003-F-10.
7- K. Talour, et al., (2013), Facteurs prédictifs de la douleur dans les gestes techniques dermatologiques, Annales de Dermatologie et de Veénéréologie, Vol. 140, Issue 1, p. 5-14.
8- C. Mamie, (), La douleur a t-elle une origine génétique ?, Hôpitaux Universitaires Genève, site consulté le 12 juillet 2023.